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Employés de pharmacie



Courrier de la CGTM au syndicat SFPF des pharmaciens

Objet : mise en sommeil de l’obligation vaccinale et du Pass sanitaire
Monsieur le Président, 

Par courrier en date du 07 septembre 2021, vous avez, et nous vous en sommes gré, bien voulu répondre à notre courrier qui portait en objet : l’obligation vaccinale des professionnels de santé et plus précisément des préparateurs en pharmacie.

Bien entendu, nous n’infirmons nullement le fait que vous indiquez, que les préparateurs en pharmacie sont concernés par l’obligation vaccinale instituée par la loi n° 2021-1040 du 5 août. Nous nous sommes limités, à dénoncer la pression qui se manifestait, à l’encontre des salariés des Officines, toutes activités professionnelles confondues.

Cette pression a consisté, tous ces derniers temps, à faire peser la menace de mise en cause de la poursuite du contrat de travail, si la condition du parcours de vaccination, n’avait pas été réalisée par le salarié, à la date du 15 septembre 2021.

Cependant, nous avons observé, que concernant le contrôle de la situation vaccinale des préparateurs en pharmacie, au regard de l’obligation, votre courrier ne manifestait aucune intention précise.
En regard de quoi nous portons à votre connaissance, que la prorogation, au 15 novembre 2021, de l’Etat d’Urgence Sanitaire dans les Outre-Mer qui vient d’être votée par les deux Assemblée de France,  neutralise la mise en place de  l’obligation vaccinale et du Pass sanitaire.

En conséquence, nous vous vous demandons de bien vouloir faire passer le message, aux employeurs des Officines, afin qu’ils soient tenus informés
.
D’ailleurs, à ce propos, nous portons à votre connaissance, que le Préfet, Monsieur Stanislas CAZELLE, s'est engagé auprès des organisations syndicales, à rendre publique l’information.
 
Aussi, comptant sur votre intervention auprès de nos employeurs, nous vous prions de recevoir, Monsieur le Président, nos sincères salutations.

11-09-2021

à lire aussi la lettre , la reponse ainsi que le bulletin:



Lettre au syndicat SFPF des pharmaciens 11-09-2021
Taille : 123 ko - Dernières modifications : 21/09/2021
 
Reponse du Syndicat des pharmaciens
Taille : 215 ko - Dernières modifications : 22/09/2021
 
bulletin employes en pharmacie septembre 2021
Taille : 530 ko - Dernières modifications : 21/09/2021
 


Mobilisation du Syndicat devant une Officine à Petit-Bourg

Bien que nous ne fussions pas nombreux, nous avons pu, par notre détermination et l'aide des camarades de la CGTM SANTÉ, mener une action de soutien en direction des salariés de l’Officine de Petit Bourg.
Pour rappel, le pharmacien de l’officine avait décidé de façon arbitraire, pensant appliquer la loi à la lettre, pris l'initiative de mettre à pied les 5 préparateurs en pharmacie de son officine avec suspension de salaire. 

Nous avons, après discussion, pu obtenir un document écrit de sa part, stipulant qu’il accordait 2 jours de congés à ses frais, et ceci jusqu'à l'intervention du Préfet sur la question de l’obligation vaccinale. 

Il ressort que ce pharmacien a dû laisser baisser ses rideaux sans pouvoir recevoir la clientèle.

Cette réaction du syndicat est exemplaire et devra en appeler d’autres !

le 22-09-2021
 



Bulletin pharmacie décembre 2016

- Election TPE
- Convention Collective Article 12.2: Droit individuel à la formation des salariés sous contrat de travail à durée indéterminée (DIF)
- Convention Collective Article 12.2: Article 12.3 Mise en œuvre du DIF

Bulletin pharmacie
 


UBIPHARM le Répartiteur pharmaceutique, inquiète les salariés.

UBIPHARM, est un grossiste répartiteur qui approvisionne les Officines de Martinique en produits pharmaceutiques. UBIPHARM est le deuxième acteur du marché en Martinique, il alimente plus d’une centaine de pharmacies d’officine par des livraisons régulières leur garantissant ainsi leur stock afin qu’elles assurent leurs missions de santé publique.
Ces temps derniers, alors que rien ne le laissait prévoir, tant il est vrai que le commerce de la consommation de médicament fonctionne bien, cette entreprise qui a pignon sur rue, a mis e place une procédure menaçant l’emploi d’une part ainsi que les salaires de 3 personnes.
Les salariés pas du tout convaincu de la nécessité de ce projet ont décidé lors de la tenue de la  réunion du Comité d’Entreprise du mercredi 27 janvier 2016, d’exiger la suspension de la procédure en cours contre les trois salariés.
Il s’est agi pour le CE de désigner un expert-comptable afin d’exiger une expertise des comptes de l’entreprise. L’expert une fois nommé devra vérifier que les difficultés de l’entreprise sont bien avérées et, d'autre part, que les mesures envisagées permettront de redresser et pérenniser l'entreprise. Mais l’expert ne se privera pas également d’envisager d'autres solutions alternatives à celles prévues dans le projet de l’entreprise.
Selon les salariés, au vu des documents transmis, les mesures de licenciement du responsable achat et de baisse de salaire de deux cadres ne collent pas, car elles ne suffiront pas, selon le raisonnement de l’employeur, pour faire revenir les comptes à l'équilibre.
Pour l’instant, l’employeur a donc accepté l’audit, non sans avoir tenté d’imposer aux salariés son propre expert, qu’une expertise des comptes soit lancée et que la procédure en cours soit suspendue jusqu’à la lecture des résultats.
Cette fois, la vigilance des salariés a payé, cependant il leurs appartient de faire que l’employeur renonce définitivement à son projet scélérat.

06-02-2016


 



Elections TPE: Appel de France HRELLE


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Licenciée pour avoir défendu ses camarades !

Une fois de plus, l'injustice frappe une de nos déléguées des plus engagés, puisqu’elle est la représentante syndicale de la CGTM de la branche des officines de pharmacie en Martinique.
La décision inique de l’employeur, qui vient la frapper, évoque pour une soi-disant faute d’insubordination.
Mais à regarder de plus près, d’insubordination, il n’y en a pas, car la période d’absence de la camarade a fait l’objet d’une demande en bonne et due forme adressée à l’employeur.
Donc aucune faute en vue, il s’agit là tout simplement d’un acte délibéré de l’employeur de sanctionner la représentante syndicale qui il y a peu, défendait contre elle les intérêts de travailleurs que la pharmacienne licenciait pour motif économique.
En fait cette dame depuis qu’elle a fait le rachat de la pharmacie anciennement appartenant à monsieur Lubin, n’a jamais accepté la présence du syndicat de l’entreprise, et si notre camarade, n’est pas à sa première tracasserie, il n’empêche que cette fois, profitant du fait que le mandat syndical de notre camarade était arrivé à échéance, notre licencieuse en a profité pour aller encore plus loin dans la scélératesse.
Du fait d’une absence de fondement, il est clair que cette décision de l’employeur frise l'inconscience, et pour cela il faudra que rapidement cette dernière retrouve le sens des réalités. D’ailleurs, l'inspection du travail, a été informée de cette manœuvre abusive et une enquête sera vraisemblablement diligentée pour que les choses n’en restent pas là.
Alors désormais s’enclenche un combat pour sa réintégration de notre camarade, car il devient urgent de la réhabiliter, car à travers elle, il s’agit là d’un combat pour le respect de l’exercice du droit syndicale dans le secteur de la pharmacie d’officine comme ailleurs !

16-06-2012



Tentative d’intimidation avortée de la déléguée de la pharmacie de Cluny


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La Pharmacie de Cluny dirigée par une certaine dame Marie-Nelly fait partie d’un ensemble d’officine qui regroupe la pharmacie de Sainte-Thérése, celle du centre commercial du rond-point ainsi qu’une autre officine située à Saint-Pierre, et ce regroupement de professionnel s’appelle le Groupe Espace-Santé.
Il faut observer qu’après avoir mis à sac leur propre groupement d’achat : la CERP, la politique de certains pharmaciens de la place a été de se constituer son propre réseau ou encore de faciliter des regroupements de plusieurs professionnels.
Le pharmacien Cypria est sans doute le premier à s’être libérer des contraintes des deux groupes de la place que ont la Sopharma et l’ex-CERP. Ensuite l’idée a fait son chemin. L’implantation de groupes existants déjà dans l’hexagone a également vu le jour. Et depuis peu est né le groupe espace-Santé initié par un pharmacien de Sainte-Thérése.
Tout ce remue ménage traduit un certain appétit de nos pharmaciens locaux à vouloir faire plus de fric sur le médicament en occultant le passage obligé des intermédiaires-pwofiteurs.
Mais certains veulent voir encore plus loin. Et pourquoi ne pas se débarrasser des syndicats et de leurs représentants ?
Et pour ceux- la, la stratégie consistera à vouloir réduire leur seuil d’effectif en dessous de 11 salariés, mais ce faisant bénéficier de la présence des salariés du groupe pour faire face à la demande, et le tour est joué !
En tout cas c’est ce qu’ils pensent. Mais voilà du désir à la réalité les choses ne sont pas si simple et lorsque la pharmacienne Marie-Nelly à signifié à la déléguée qu’elle envisage de la licencier, cela à soulevé un tel regroupement devant son officine mercredi dernier, qu’elle a du, au cours de l’entretien, changer son fusil d’épaule disant qu’elle envisagerait une autre sanction que le licenciement.
Le calme revint donc, mais rien n’est définitivement joué  puisque tous ceux et celles qui soutiennent la déléguée syndicale, menacée un temps, attendent de pied ferme la dite sanction qui sortirait du chapeau de la pharmacienne.
02-06-2012



Les attaques se répètent contre les travailleurs dans le secteur des officines de pharmacie, mais la colère monte !

Aujourd’hui, de nombreuses difficultés se font jour pour les travailleurs des officines en pharmacie, et ces problèmes sont en lien directe avec la dégradation de leurs conditions de travail.
Ces complications concernant souvent les horaires de travail, car certains pharmaciens ferment leurs officines le soir de plus en plus tard et les employés se trouvent par conséquent confrontés à des problèmes d’insécurité le soir très tard surtout lorsque les entreprises sont implantées dans des quartiers de Fort de France, où la délinquance déclenche quotidiennement la chronique judiciaire.
Ces préoccupations s’amplifient lorsque certains pharmaciens qui disent ne pas avoir d’argent, mais qui ouvrent des parapharmacies sans surveillance, poussent à faire des heures supplémentaires qui ne sont pas payés sous le fallacieux prétexte que : » c’est pour le bien de l’entreprise ». !
Ces mêmes employeurs souvent s’opposent à mettre en place les élections de représentants du personnel, sauf quant ils ont l’opportunité de choisir eux-mêmes ceux ou celles qui seront élus !
Sur le volet social, se trouve la question des tickets déjeuner, ces gens là vous l’attribuent ou décident de vous l’enlever quant bon leur semble, et surtout au bénéfice d’un changement d’horaire astucieux, ceci, sans tenir compte que la loi protège les avantages déjà acquis par les salariés.
Voilà des sujets qui inspirent bien la nécessité de se battre et qui montre qu’il y a encore beaucoup à faire pour que dans ce secteur d’activité soit respecté le droit des travailleurs.
C’est aussi quotidiennement que les salariés vivent dans un climat de chantage à l’emploi sous prétexte que la crise rend les affaires difficiles. Mais aujourd’hui, les mentalités changent et les travailleurs de ce secteur se rendent compte qu’ils sont suffisamment nombreux pour contester ce traitement scandaleux de leurs employeurs et pensent qu’ils sont aujourd’hui en mesure de faire respecter une meilleure application du respect de  leur contrat de travail.



Frais d'équipement forfaitaire 2011



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frais d'équipement



Les employeurs pharmaciens attaquent le droit des salariés.

Les employés en pharmacie sont depuis quelques temps les têtes de turc des pharmaciens.
Nombreux sont les problèmes qui sont aujourd’hui dénoncés par les salariés.
Les sanctions diverses semblent être au goût du jour dans les Officines, lettre d’intimidation, mises à pied, avertissements, certains pharmaciens vont jusqu’à solliciter les salariés en arrêt de travail. Les employés sont harcelés de toutes parts. Les employeurs leurs demandent même de faire des heures supplémentaires.
Pourtant, lorsqu’ils demandent à s’absenter pour enfants malades la journée d’absence est décomptée alors que la Convention Collective locale dit que : « Tout retard ou absence justifié, ne doit pas faire l’objet de retenues sur salaire sans que l’absence puisse dépasser un jour par mois ».
Mais le climat se dégrade car certaines officines puisque  parlent même de licencier. Les employeurs prennent prétexte de l’installation d’automates ou de robots pour justifier leur baisse d’effectif.
Pourtant ces automates ne prennent pas la place des employés car pour qu’ils fonctionnent, il faut de la main d’œuvre de ces employés résultat, lorsque ces employeurs licencient, ils demandent après aux employés restants de faire le travail de ceux qui ont été licenciés.
Les employeurs se plaignent de ne pas avoir d'argent cependant cela ne les empêchent pas tous les mois de voyager, avec à la clé des croisières en Caraïbes ou en Méditerranée, de développer leur patrimoine en ouvrant des établissements de parapharmacie.
Alors nous les employés, on ferait mieux de bien a analyser tout cela et de faire ensuite savoir à ces patrons qu’on n’est pas dupe et qu’il serait temps qu’ils commencent à s’occuper vraiment de nos problèmes avant que nous ne passions à autre chose.



Volonté chez les pharmaciens de mettre cause le week-end chômé et autres jours fériés.

Au sein de certaines officines pharmaceutiques, la tentative est de plus en plus grande de remettre en cause le chômage des week-ends et des jours fériés.
Pour des raisons multiples et variées les pharmaciens font pressions sur les salariés, pour les contraindre à sacrifier leurs week-end et jours fériés. Cette démarche, les pharmaciens de cachent pas qu’ils la font, dans le but de faire fructifier leurs profits. Ils annoncent qu’ils ne peuvent renoncer aux substantiels bénéfices que cela rapporte.
Mais cela on le savait que le travaille rapporte beaucoup d’argent à ceux qui sont propriétaires des tiroirs caisses ! Mais que dire de leurs écoutent lorsqu’il s’agit de répondre aux revendications des travailleurs ? C’est zéro pointé puisque dans ce secteur d’activité, malgré les multiples problèmes ces employeurs ne négocient pas. La direction du syndicat des pharmaciens est sourde à toute demande de négociation, malgré les relances du syndicat CGTM des Officines.
Alors, puisqu’il en est ainsi, il ne faut surtout pas que ces messieurs les pharmaciens s’attendent à ce que les salariés relâchent la garde quant à la défense de leurs acquis. Aujourd’hui ils sont mal inspirés à chercher à remettre en cause un vieil acquis conventionnel auquel tiennent les salariés.


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