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Métallurgie



Non aux tentatives d’intimidation patronale ȧ l’entreprise « ENA » du bassin radoub

La Chambre syndicale CGTM de la Métallurgie dénonce énergiquement les mesures prises par Nicolas BRUNI le gérant de l’entreprise Entreprise Nouvelle Antillaise (ENA –NAUTECH) au Bassin Radoub et sa direction.
 
Cette entreprise a pour activité la réparation, la maintenance navale, de peindre la coque des bateaux, mais aussi faire de la chaudronnerie. Avant d’effectuer la peinture d’un bateau les peintres doivent décaper la coque à l’aide de matériel à haute pression avec un mélange d’air et de sable.
Mais voilà, il s’est avéré que le sable utilisé depuis bien longtemps, contenait de l’amiante. Suite à l’information qui circulait, le gérant de l’entreprise Nicolas BRUNI a lui-même fait effectuer des analyses sur ce sable. Elles ont été effectuées le 07/11/2017 par l’entreprise ITGA spécialisée dans les recherches d’amiante dans les matériaux. Les résultats ont été clairs. Les sacs de sable stockés au dépôt et les déchets du sable non utilisé qui avaient été analysés, contenaient du Chrysotyle. Il s’agit d’un « type d’amiante, dangereux pour la santé, avec risque de cancer des poumons lorsque ce produit est inhalé durant son utilisation ».
Face à cette situation, les salariés se sont toujours inquiétés pour leur santé, leur vie, en relation avec le travail effectué dans l’entreprise des années durant. Le gérant lui, a voulu faire en sorte que cette information ne soit pas reprise et discutée librement par les salariés pour que ceux-ci ne relèvent pas la tête et ne cherchent pas à défendre leurs droits en termes d’hygiène et de sécurité. Mais les choses ne se sont pas passé ainsi, car il y a bien des salariés qui ne sont pas dupes et continuent d’être préoccupés par la présence de ce sable contaminé …ou par la disparition de preuves de son existence.
 
Aujourd’hui, ce patron voudrait faire taire cette affaire et toute contestation.
 
C’est ainsi que le mardi 18 mars, il a décidé de passer à une vitesse supérieure en convoquant pour le mardi 26 mars, le collègue chargé de sécurité, notre camarade Serge ROSINE pour lui signifier une sanction.
 
Ce patron chercherait-il à se venger contre ce chargé de sécurité pour avoir pris contact avec l’inspectrice du travail le vendredi 1er mars 2019 ? Mais, n’est-ce pas le même patron qui se montre irresponsable vis à vis des travailleurs en ne participant même pas aux exercices dans le cadre de Caraïbe Wave 2019, sur le risque de tsunami, alors que la majorité des ouvriers du bassin travaille à moins 10 mètres du niveau de la mer ?
 
En effet, le collègue avait constaté que le jeudi 28 février 2019 deux ouvriers de l’entreprise ENA avaient été missionnés par la responsable des ressources humaines de l’entreprise pour faire sortir des sacs de sable contaminé par du Chrysotyle d’un dépôt. Ces sacs devaient être déversés sur un tas de sable situé sur une plateforme du site et récemment encore protégé par une bâche car lui aussi contaminé. Cette bâche avait été déchirée depuis une année et le dépôt de sable contaminé se trouvait au grand air. Les ouvriers avaient été ainsi missionnés sans qu’aucune information n’ait été faite au chargé de sécurité, aux délégués ou aux salariés. La responsable des ressources humaines a été jusqu’à avancer à l’inspectrice que : « ni le dépôt de sable ni les sacs de sable ne contiennent de l’amiante ».
 
Alors, qu’a donc cherché à faire la direction ? Ȧ débarrasser sournoisement et sans contrôle le sable contaminé du site ?
Est – ce la raison pour laquelle, elle cherche aujourd’hui, à intimider le chargé sécurité qui a fait son travail dans le cadre du respect des règles d’hygiène et de sécurité.
 
Nous la Chambre syndicale CGTM de la Métallurgie de Martinique, nous dénonçons fermement
la mesure arbitraire prise par la direction à l’encontre de notre camarade.
Aucune sanction ne doit être prise contre le collègue Rosine.
NON AUX TENTATIVES D’INTIMIDATION, NON Ȧ l’Arbitraire DE LA DIRECTION
Fait le 20 Mars 2019



LES MOBILISATIONS ET LES LUTTES MENEES DURANT LES 3 DERNIERES ANNEES DANS LA METALLURGIE, DEPUIS LE DERNIER CONGRES DE LA CGTM.

 Les problèmes rencontrés dans la métallurgie



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JJ MAGIT (Secrétaire général)

Le secteur de la métallurgie en Martinique est composé d’environ 300 entreprises avec des effectifs variant de 0 à 70 salariés environ. Et dans la grande partie de ces entreprises, les ouvriers ne sont pas organisés syndicalement.
La commission paritaire ne fonctionne pas depuis plusieurs années. En effet, le dernier accord de branche date de 1993, soit 15 ans déjà.
Notre objectif est lutter pour renforcer renforcée la chambre syndicale par l’adhésion de nouveaux adhérents.
Ainsi les ouvriers de l’entreprise Profilage Martinique à Fort de France nous ont rejoint. Il s’agit d’une filiale de la multinationale Arcelor Mittal chargée de la fabrication à froid de tôles profilées et de l’entreprise STAB à Ducos chargée de la fabrication d’armatures métalliques pour le BTP.
Mais aussi ceux  des entreprises Sami chargée de la réparation de banches pour le BTP et de Locapress chargée de la location de d’installations de banches pour le BTP.
Avec ces nouveaux adhérents nous avons pu avoir des informations sur ce qui se passe dans leur entreprise. A savoir :
·        des salaires payés en dessous du SMIC
·        des heures supplémentaires effectuées et non payées
·        des grilles de salaires inexistantes
·        pas de qualification notifiée sur les fiches de paie
·        l’absence de primes d’ancienneté et de transport
·        aucune référence de convention collective notifiée sur les fiches de paie
·        des cadences de travail accélérées
·        le non respect des règles d’hygiène et de sécurité
·        dégradation des conditions de travail
·        le travail le samedi pratiquement imposé
 

 De notre implantation et de nos forces militantes


ENA (Ex Delattre Levivier) au Bassin de Radoub est chargée de la réparation navale.
 
Biométal au Robert. Chargée de fabriquer des tôles profilées et des treillis soudés.
 
Carnier à la Lézarde au Lamentin. Chargée de la soudure de charpentes métalliques.
 
Ferronnerie du Sud. Chargée de la soudure de charpentes métalliques
 
SIGBR. Chargéede la soudure au Bassin de Radoub
 
Peinture Navale à Fort de France : Chargée du sablage et de la peinture des bateaux au Bassin Radoub ? Du sablage et peinture des ponts sur les routes et à la Sara.
 

 

 Les actions et mobilisations générales



  Compte tenu de nos forces en présence, nous n’avons pas pu avoir une politique pour mettre en avant des revendications offensives et notamment celles d’augmentations de salaires substantielles. Cependant, dans certaines entreprises où nous sommes implantés, des améliorations sur le plan revendicatif ont été apportées.
 
La métallurgie a participé à des mobilisations de la CGTM. Il s’agit de :
Formations.  Séminaires
Commissions exécutives de la confédération
Manifestation sur la journée internationale de la femme
Actions unitaires (manifestations contre la vie chère, pour le plein emploi)
Manifestation du 1er mai et du 22 mai
A ces manifestations ont peut estimer à 2 en moyenne le nombre de participants de la métallurgie.
 
 
Nous avons aussi participé à différentes manifestations culturelles à savoir :
Film sur les 16 de Basse Pointe
Conférence débat sur décembre 1959
Conférence débat sur 1900
Conférence débat sur le 22 mai par Armand Nicolas

 Les actions et mobilisations dans les entreprises


 
Entreprise : ENA Ex entreprise Delattre Levivier            Années 2005 à 2008.
Lorsqu’en mars 2005 l’entreprise est passée de Delattre à ENA, la direction a cherché à ne pas reprendre 8 salariés protégés. C'est-à-dire à les licencier. Il y a donc eu une mobilisation sur le terrain juridique pour l’obliger à reprendre les 8 salariés protégés. Après jugement 4 ont obtenu gain de cause.
Résultat : les 8 salariés ont été réintégré à leur poste de travail et ont touché des salaires impayés.
Le travail intérimaire demeure la priorité de la direction. Cela lui permet d’avoir de la main-d’œuvre pour travailler des fois le dimanche et des jours fériés.
Les cadences de travail ont augmentées, des heures supplémentaires sont appliquées, les conditions de travail se sont aggravées.
Quand à ceux qui ne se plient pas à la règle, surtout quand il s’agit de militant de la CGTM, elle n’hésite pas à afficher son mépris et exercer des pressions : (mises à pied, lettres d’avertissement, sanctions, retenues sur salaires etc. …).
 
 
Entreprise : Biométal au Robert     Années 2005 à 2008.
Les ouvriers arrivent à améliorer la convention collective de la métallurgie en obtenant des augmentations de salaires et de meilleures conditions de travail.
En 2005 :        2 jours de congés supplémentaires aux salariés comptabilisant 25 ans d’ancienneté.
                        Augmentation des salaires de 100 euros bruts mensuels à titre exceptionnel dans le cadre des 25 ans de l’entreprise.
 
En 2006 :        Augmentation des salaires de 2,5 %
                        La prime de vacances est portée à 55 % de l’indemnité de congés payés
 
En 2007 :        Les jours fériés locaux seront payés aux salariés totalisant 3 mois d’ancienneté
                        Augmentation des salaires de 3,5 %
                        Augmentation de la prime de transport de 5 % à compter du 1er avril 2007

 
En 2008 :        Augmentation de la prime de transport de 4,85 %
                        Augmentation des salaires de 3,5 % (2,5 % au 01/01/08 et 1 % au 01/06/08)
Le seuil d’embauche est de 10,12 €/h, OM 1er échelon (Ouvrier Manœuvre). Alors que le SMIC est actuellement à 8,63 €/h.
 
Entreprise : Carnier au Lamentin               Années 2005 à 2008.
Le patron a une attitude autoritaire et paternaliste vis-à-vis d’eux.
Ce patron risque un jour de tomber sur un os, comme cela s’est fait dans d’autres entreprises de la métallurgie.
 
Entreprise : Peinture Navale à Fort de France                  Années 2005 à 2008.
Entreprise sous-traitante, chargé de la réparation navale (Peinture, sablage) au Bassin de Radoub.
En 2008 : Les ouvriers ont tenu une réunion le 16 juin avec leur patron. Ils sont entrain de se regrouper pour obtenir l’application d’une grille de salaire (inexistante dans l’entreprise). Et le paiement de la prime de 1 000 euros. Pas de réponse positive pour l’instant.
 
 
Année 2008 
Entreprise : STAB.
 
Mobilisation pour des augmentations de salaires et le respect de la convention collective :
 
Auparavant, la direction faisait ce qu’il voulait.
- Pas de convention collective,
- Pas de grille de salaire,
- Pas de prime d’ancienneté,
- Le travail le samedi au bon vouloir du patron.
Face à son intransigeance, et après un travail de conscientisation, les salariés ont fini par se regrouper. A plusieurs reprises avec leur délégué CGTM,ils se sont mobilisésdevant le siège de leur direction. Ainsi, 3 lettres ont été adressées à leur patron (1 en Février et 2 en Avril 2008) dans laquelle ils réclamaient : 
- l’augmentation des salaires
- pas de salaires inférieur au SMIC
- l’application d’une grille de salaire (inexistante dans l’entreprise).
- l’application de la prime d’ancienneté (inexistante dans l’entreprise)
- la mise en place et le respect de la convention collective de la Métallurgie
- spécification sur les fiches de paie la convention collective à laquelle l’entreprise est rattachée
Les ouvriers n’ont pas lâché la pression, et après l’intervention de l’inspecteur du travail et surtout de la mobilisation des ouvriers sur leur lieu de travail la direction a fini par recevoir une délégation de salariés accompagné de leur délégué pour discuter de :
- l’application d’une grille de salaire,
- requalification des ouvriers
- le paiement de la prime d’ancienneté
- l’application de la convention collective de la Métallurgie.
 
Face à la détermination de l’ensemble des ouvriers, la direction a été obligée de reculer. Ils ont obtenu satisfaction à toutes leurs revendications. Le nouveau taux horaire selon la qualification a été augmenté de 3 à 9 %. Le salaire minimum a été fixé au taux horaire actuel du SMIC et à chaque augmentation du SMIC le taux horaire au sein de l’entreprise augmentera automatiquement.
 

 
Concernant les conditions de travail :
La direction a été obligée de reconnaître qu’il faut améliorer les conditions de travail. Le travail le samedi n’est pas une obligation mais au volontariat.
Ainsi les horaires de travail ont été modifiés, permettant une meilleure organisation du travail.
Et les pressions exercées par la direction sur les ouvriers ont diminué.
 
Concernant les autres revendications :
Dans le cadre des réunions mensuelles des délégués du personnel, les salariés continuent à réclamer leurs droits. Un ordre du jour a été établi pour la prochaine réunion mensuelle. (Réunion prévue normalement pour Juillet).
Car après avoir obtenu au mois de mai 2008 le paiement de leur  prime d’ancienneté, aucun effet rétroactif (rappel sur 5 ans, conformément à l’article L 143 14 du C d T) n’a été appliqué par la direction. Les salariés réclament :
- Le rappel sur 5 ans de leur prime d’ancienneté
- Le paiement de la prime de transport conformément à  l’article 30 de la convention collective
            - Le paiement de la prime de vacances 30 % de l’indemnité de congés payés conformément à l’article 37 de la convention collective
            - Un calendrier établi par la direction pour les départs en congé.
 
 
Année 2008 :
Entreprises : SAMI et LOCAPRESS
Mobilisation pour des augmentations de salaires et le respect de la convention collective
Ce sont 2 entreprises en sous-traitantes sous le même site que l’entreprise Stab. Et par rapport à cette dernière, ce sont les mêmes problèmes qui existent (bas salaires, pas de convention collective, pas de qualification, mauvaises conditions de travail).
Les ouvriers de Sami et de Locapress ont été informésdesaméliorations salariales et autres qu’ont obtenu leurs camarades de Stab, et cela leur a mis la puce à l’oreille. Ils se sont tous syndiqués à la CGTM et veulent aussi obtenir les mêmes droits que leurs camarades de Stab.
Pour l’instant, une première lettre de réclamations a été adressée à chacun des patrons, mais ceux-ci font la sourde oreille.
Au mois d’avril dernier, une première rencontre a eu lieu entre les ouvriers de Sami et de Locapress et leur direction, sans rien n’obtenir pour l’instant, car leur direction persiste à ne rien céder.
Une deuxième lettre a été adressée le 23 mai dernier à l’inspecteur du travail l’invitant à venir sur le site pour appuyer leurs revendications.
Les ouvriers ne sont pas prêts à se laisser faire. Ils veulent aussi obtenir satisfaction à leurs revendications.
 
 
Années 2007/2008 :   Entreprise : Profilage Martinique à Fort de France
Mobilisation pour des augmentations de salaires et le respect de la convention collective
Nouvelle section syndicale mise en place à partir de septembre 2007.  Auparavant, la direction faisait la pluie et le beau temps. Les horaires de travail se trouvaient modifiés du jour au lendemain au bon vouloir de la direction sans même avertir les salariés concernés.
- Aucune convention collective n’était respectée, alors que sur leur fiche de paie était spécifiée « convention collective nationale ».
- Pas de prime d’ancienneté,
- cadences de travail infernales. A tel point qu’en 2007, après le cyclone Dean, un ouvrier a perdu ces 3 doigts sectionnés par une planeuse.
- Prime de rendement à la tête du client
- Comportement autoritaire du Directeur vis-à-vis des ouvriers.

 
Les choses ont commencé à changer dès que le personnel a été en contact avec la CGTM. A la suite de plusieurs réunions, avec l’ensemble du personnel il y a eu une première mobilisation sur le lieu de travail le mercredi 27 septembre 2007 pour :
Avoir des explications sur l’accident d’un de leur collègue
Demander au Directeur d’arrêter son comportement autoritaire vis-à-vis du personnel
Consulter le personnel avant de modifier les horaires de travail
Appliquer la convention collective spécifiée sur leur fiche de paie
Procéder à la mise en place des élections des DP
 
Au bout d’une heure 30 de discussion, la direction a été obligée de changer de ton et de reconnaître qu’un certain nombre de choses n’allait pas dans l’entreprise. Un accord a été conclu pour :
Modifier les horaires de travail avec l’accord des salariés
Diminuer sur les cadences de travail et de respecter des règles d’hygiène et sécurité
Procéder à la mise en place de système de sécurité qui n’existait pas sur des machines, notamment sur celle où l’ouvrier a été accidenté
Procéder à la mise en place d’un protocole préélectoral en vue des élections des DP
 
Premières réunions des NAO les (20 mars, 10 avril et 17 avril 2008). Les ouvriers ont fait comprendre à leur direction que Arcélor Mittal avait fait 7,5 milliards de profits en 2007. Donc elle pouvait largement payer ce dont ils réclamaient. Ainsi, ils ont obtenu :
Une augmentation de salaires de 8 % 
L’application d’une grille de salaires
Le paiement de la prime d’ancienneté avec effet rappel sur 5 ans
La requalification du personnel
L’application de la convention collective de la Métallurgie de la Martinique
L’application de la St Eloi, (1er décembre), jour férié chômé et payé
Le respect de tous les jours fériés locaux conformément à la convention collective de la Métallurgie de la Martinique
L’embauche définitive de 2 intérimaires, présents dans l’entreprise depuis plus d’1 an.
L’assouplissement des heures de travail
 
Concernant la nomination d’un délégué syndical. La direction a dans un premier temps refusé sa nomination.
Au début de 2008, elle avait mis devant les tribunaux le délégué syndical en question pour contester sa nomination. Mais elle a perdu, le registre unique du personnel était non conforme par rapport à l’article L 620 3 du Code du travail. Résultat le délégué syndical a été reconnu officiellement.



EVOLUTION INSTITUTIONNELLE : POSITION DES TRAVAILLEURS DE LA METALLURGIE

Le vendredi 27 novembre 2009, les travailleurs de la section syndicale de la CGTM de l’entreprise de la métallurgie ARMAT à la Pointe des grives à Fort de France se sont réunis pour débattre de l’évolution de statut. Plus particulièrement de la prochaine consultation qui aura lieu le 10 janvier 2010 concernant l’article 74 de la constitution. Et si le NON l’emporte pour une deuxième consultation qui aura lieu, le 24 janvier 2010 sur l’article 73 de la constitution....Lire la suite


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