Communiqué du comité de soutien Gladys Jacquens et Maeva Largen |
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Bonjour à tous Nous renouvelons nos vœux de bonne année pour 2017 Santé Sérénité Solidarité Aujourd’hui après plus d’un mois d’existence, à la demande de plusieurs sympathisants nous faisons un point sur les actions qui ont été menées et qui restent à mener Objectif premier : informer et dénoncer · Tract lancé le 4 Décembre · Pétitions papier le 4 Décembre · Alerte à la presse parlée et écrite · Toutes les télés ont été sollicitées · Lancement de la pétition en ligne · Appel aux maires de l’Espace Sud · Appel aux membres du Conseil d’administration de la mission locale · Appel aux élus députés sénateurs Cet objectif a été en partie atteint grâce à l’implication de Martinique 1ère tant en télé qu’en radio, RCI, France Antilles, Bondamenjak, Politique Public. Les pétitions papiers et en ligne ont permises de partager l’information et des centaines de personnes ont compris ce combat pour la justice qui était mené et ont signé en masse. Le syndicat CGTM s’est mobilisé avec efficacité. Nous attendions mieux mais peut-être n’avons-nous pas été assez offensives Pour ce qui est de la situation actuelle de Maeva et Gladys : Maeva LARGEN a bien été licenciée contrairement à ce qu’a affirmé Monsieur NILOR en télévision, et Josiane PINVILLE en conseil communautaire et en conférence de presse du 9 décembre 2016. Nous avons demandé un droit de réponse à ATV sans succès. Les papiers pour son inscription à Pôle Emploi lui sont parvenus par voie d’huissier, après plusieurs demandes en accusé réception depuis le 2 décembre 2016, date effective de son licenciement. Les éléments transmis le 13 décembre 2016 comportaient des incohérences, exemple date de naissance erronée. Accablant ! Elle est accompagnée par un avocat pour sa plainte au prud’homme. Gladys JACQUENS en tant que déléguée syndicale et du personnel, est toujours mise à pied sans rémunération jusqu’à ce jour et a été reçue dans le cadre de la procédure par l’inspecteur du travail, elle a été entendue et accompagnée de Monsieur Maugée, de la CGTM. La médecine du travail a pu notifiée les conséquences de cette situation. La fin initialement prévue de l’enquête menée par l’inspection du travail est le 2 février 2017. Comme Maeva, son dossier est suivi par un avocat et les actions nécessaires sont en attente des décisions des résultats de l’enquête. Un dossier sur le nouveau dirigeant de cette structure d’insertion a émergé Ainsi, son management antérieur a été remis en question par ces anciens employeurs, et il a fait l’objet d’un licenciement pour » insuffisance et comportement irresponsable » Alors pourquoi ce choix de la CAESM par l’intermédiaire de sa présidente Josiane PINVILLE de ce candidat ? Est-ce le fait d’un lien de parenté ? N’omettons pas que Monsieur MARIE-LUCE Fabrice est le neveu de la présidente. Nous avons également recueilli des témoignages écrits qui montrent la fragilité de celle qui a informé de son mal être en deux mois de présence au sein de la MLES, qui s’est vite enfui en France dès le début de l’affaire. Voilà où nous en sommes ! Si vous avez des suggestions ou des témoignages à apporter ils seront les bienvenus. Encore Merci de votre soutien
Jeudi 19 janvier 20174 lectures Comité de soutien à Gladys et Maeva.
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Une radicalisée de la bêtise, néanmoins désignée Présidente à la Mission Locale de l’Espace-Sud |
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Deux salariées sont menacées par une procédure de licenciement, engagée par la Présidente de la Mission Locale de l’Espace-Sud, ces deux salariées ne seront sans doute jamais informées des vrais raisons du procès qui leur est fait par la Présidente de l’Association Mme Pinville. D’emblée, le scénario de la Présidente a été d’invoquer la faute grave à l’encontre de ces deux salariées cadres et pour montrer sa farouche intransigeance, de conjuguer sa présomption de faute, d’une mise à pied conservatoire pour ces deux femmes. Seulement, les salariées concernées par le projet de licenciement sont des agents occupant chacune un rôle stratégique dans l’association, et ce, depuis plusieurs années. L’une est la déléguée syndicale CGTM, déléguée du personnel, secrétaire adjointe du Syndicat de la Branche des Missions Locales (Sud, Centre et Nord de la Martinique) et ce depuis la création de la Mission Locale de l’Espace-Sud soit depuis 10 années. L’autre salariée est la directrice-adjointe de l’Association, elle occupe magistralement cette fonction d’où, elle a d’ailleurs vu passer, trois directeurs aux commandes de l’association en 10 ans. «Bonne pâte», elle a systématiquement été utilisée dans le rôle de «directrice par intérim» de la structure, et félicitée publiquement pour cela, mais sans jamais être pressentie pour occuper pleinement le poste de directrice. Aussi, pour l’observateur avisé et informé des griefs adressés aux ces deux salariés, il ne faut pas être un grand grec pour comprendre qu’il s’agit là d’une opération de lynchage décidée par la Présidente. D’autant qu’aucun élément évoqué lors de leur entretien préalable, ne relève du motif de gravité et ne touche par ailleurs aucunement à l’environnement professionnel de ces deux salariés. Tout laisse croire donc, que cette affaire porte l’empreinte d’un règlement de compte. Tentative, servi par un scénario, sans doute construit dans la précipitation sur un coin de table. Ceci, tant les explications balbutiées lors des deux entretiens par la Présidente étaient confuses et sans intérêt. Car rien de ce qui a été dit n’a permis de comprendre, le motif de harcèlement, semble-t-il, d’une jeune salariée fraichement recrutée par l’association. D’ailleurs, tellement qu’il s’agit de tout autre chose que ce motif « bidon », qu’il se dit, selon des avis très autorisés que cette dame Pinville exprimerait là, plutôt ses inimitiés politiques à l’encontre des deux « mise en procédure », qui auraient le tort de se trouver en bonne place dans l’équipe municipale du maire de la ville de Sainte-Luce (lire à le fin le communiqué du maire). Ou encore, qu’elle chercherait à faire taire, celle qui semble être la mieux informée des deux, à propos d’un recrutement de la Présidente qui serait entaché d’abus. Car il se dit dans les journaux ou sites internet, que Mme Pinville aurait fait de son neveu, le directeur de l’association. En tout cas, tout cela parait bien sordide. Qu’à ce point l’ambition côtoie d’aussi près l’avilissement. Et que de surcroit, le stratagème ait été imaginé par une élue du peuple, laisse pantois !
26-11-2016 |
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Assemblée Générale de la Mission Locale de l’Espace Sud |
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Le jeudi 08 septembre 2016 s’est tenue à l’Espace sud l’Assemblée générale de la Mission locale. Les administrateurs de la structure, dont celui de la CGTM, étaient réunis pour valider les comptes des exercices 2014 et 2015. La discussion sur les différents sujets de la plénière, fut très intéressante et de nombreuses questions, ont été posées, parfois de manières houleuses, tant sur la sincérité des comptes, que sur la légitimité de l’équipe dirigeante. La raison, le non-respect du délai de transmission des différents rapports et comptes de l’Association aux administrateurs. D’autre part, bien que le voile ne fût pas levé sur les vrais raisons du licenciement du directeur, les administrateurs ont tout de même interpellés la Présidente, sur la procédure qu’elle devra mettre en place pour la désignation, en toute transparence, du prochain directeur. Les représentants du personnel, présents à l’Assemblée générale, ont fait valoir également les difficultés de leurs missions, en évoquant leurs problèmes d’accueil ou de production, liés à l’effectif insuffisant de la Mission locale. Ainsi que la difficulté d’évolution de leur carrière, de leur formation peu pris en considération, ainsi que leurs salaires « bloqués »ce qui ne semble pas être la préoccupation des dirigeants. A l’issu de cette réunion , les administrateurs ont donc pu saisir la souffrance du personnel de la structure, ils ont eu un aperçu sur leurs piètres conditions de travail et donc ont pu comprendre pourquoi , à leur niveau certains objectifs ne pouvaient , faute de moyens , être atteints. En conclusion, s’il fallait tirer un bilan de cette Assemblée Générale, dans l’intérêt bien compris des salariés de la structure et des jeunes du sud de l’ile, on dira qu’elle a montré les limites de la présidente, dans l’exercice de la démocratie. Ce qui laisse entrevoir, que le chemin sera encore long pour que la structure parvienne à un meilleur fonctionnement. |
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Déclaration de la CGT/Missions Locales.
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Pour une valeur du point à 4.45 euros et l’augmentation des indices professionnelles. Le syndicat CGT des Missions Locales et PAIO dénonce depuis plusieurs années le simulacre de négociation sur l’augmentation du point d’indice conventionnel. La délégation patronale (UNML) se cache derrière les difficultés de certaines Missions Locales et la disparité des situations sur l’ensemble du territoire pour « botter en touche » à chaque négociation. Or, des fonds de réserves existent, des budgets prévisionnels 2008 sont revus à la hausse, des Responsables de structures sont rémunérés bien au-dessus de la grille conventionnelle. Nous ne pouvons continuer de tolérer cette injustice. Considérant que L’année 2007 a connu une hausse record de l’indice des prix à la consommation INSEE de 2,8 %, Considérant que Il y a urgence à augmenter significativement notre pouvoir d’achat par une revalorisation des indices professionnels minimums par cotations de la CCN. Considérant que L’Etat s’est engagé à sécuriser les financements des ML/PAIO avec la bénédiction des patrons de l’UNML. PAR CES MOTIFS, LA CGT, APPELLE l’ensemble des salarié(e)s des Missions Locales et PAIO à signer massivement la pétition nationale pour une valeur du point à 4,45 euros. CONDAMNE l’UNML à signer l’avenant portant la valeur du point à 4,45 Euros dès le 1er juillet 2008. RENOUVELLE sa demande de révision immédiate des indices professionnels par emploi repère plutôt qu’une énième étude sur l’accès à l’emploi ne permettra plus de suivre les jeunes les plus éloignés de l’emploi. ******************************** D’autre part, l’Etat avec la complicité de l’UNML et d’une association de Directeurs a élaboré une circulaire (Circ. DGEFP du 2007-26 du 12 octobre 2007) soumettant les Missions Locales et PAIO à la logique de performance fondée sur des indicateurs de placement prenant la forme de Conventions Pluriannuelles d’Objectifs (CPO) laissant ainsi de côté nos missions fondamentales d’accompagnement global du jeune. La CGT, CONDAMNE L’UNML et dénonce cette circulaire qui œuvre à l’encontre de la défense des valeurs des ML/PAIO. |
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