La CGTM remporte les élections à la SAMAC
À la Société Aéroport Martinique Aimé Césaire (SAMAC) le 30 octobre ont eu lieu les élections au CSE (Comité économique et social). Au total, 139 électeurs répartis sur 3 collèges étaient appelés à voter.
La CGTM a obtenu la totalité des 4 sièges de titulaires et 4 sièges de suppléants au 1er collège des ouvriers et employés, la totalité des 4 sièges de titulaires et 4 de suppléants au 2ème collège concernant les techniciens et agents de maîtrise ainsi que la totalité des 3 sièges de titulaires et 3 sièges de suppléants au 3ème collège des cadres.
Ce résultat montre bien la confiance que les travailleurs de la SAMAC témoignent à la CGTM qui a su œuvrer pour l’augmentation des salaires, l’amélioration des conditions de travail, la prise en charge à 80% de leur mutuelle etc.
le 17-11-2018
Les salariés d’Air Caraïbes se rebiffent !
Dans les couloirs des cabines feutrés des A350-900, la colère gronde ces jours-ci. En effet la direction d’Air Caraïbes Atlantique a joué stupidement avec le feu en voulant à tout prix remettre en cause des droits acquis par les salariés naviguant.
Bien entendu, ces basses manœuvres des membres du Comité Exécutif Air Caraïbes Atlantique, ont très mal passé très mal et ont provoqué l’inquiétude puis le courroux des représentants syndicaux de la CGTM, qui ne se sont pas laissé démonter par ces dirigeants qui comptaient les épingler sur leur tableau de chasse.
Ces messieurs de la direction, jouant dans un premier temps la carte de la menace, ont désigné comme des « propagateurs de fausses nouvelles » les représentants syndicaux, cherchant ainsi à les isoler sans doute pour ensuite les frapper.
Ces gens-là, après la tentative d’intimidation vont entreprendre d’acheter la conscience des salariés d’ACA en les invitant à partager avec eux une soirée et cerise sur le gâteau, ils vont programmer leur stratagème le 1er Mai !
Mais cette démarche, à l’ancienne, pour tenter de désolidariser les salariés de la compagnie du syndicat, ne marchera pas car les salariés ne tomberont pas dans le piège.
Trop grosse était la ficelle et l’appelle au boycott de la soirée par le syndicat tombera à pic et laissera le promoteur Gros-jean comme devant face à son fiasco du soir.
En tout cas il n’a pas fallu plus que cela que les responsables du syndicat exigent de l’employeur une rencontre afin d’aborder les problèmes qui fâchent, et tout cela se termina comme de bien entendu par une réunion et un relevé de décision où l’employeur dit reconnaitre ses erreurs et s’est engagé à prendre en compte les objectifs du syndicat.
le 15 mai 2018