Après la fièvre électorale, la réalité reprend peu à peu le dessus. La misère gagne du terrain, tout comme le chômage, notre pouvoir d’achat s’amoindrit face à la hausse des prix, les bas salaires sont toujours en attente du complément des 200 € des collectivités locales, et les jeunes attendent de pied ferme les 5 000 emplois promis, notamment.
Comme chaque année, ce 1er mai, nous serons nombreux dans la rue, à l’instar des travailleurs du monde entier, afin de rappeler aux nantis et autres élus politiques, que notre refus de payer la crise du système capitaliste, tout comme notre colère, sont intactes.
A partir de 13 H 30 Animation culturelle d’artistes solidaires