Le droit de retrait des salariés de la Station-Service VITO LAREINTY a trouvé une issue !
C’est jeudi 14, en fin de matinée, à la DIECCTE, qu’un accord a été conclu. Cela s’est fait en présence de l’inspecteure du travail, qui s’est chargée de réunir les parties.
Autour de la table, se sont retrouvé la délégation des salariés et d’autre part celle conduite par monsieur Philippe CLERC patron de la Station-Service VITO, accompagné de sa responsable des ressources et d’un avocat conseil.
L’accord conclu, a convenu que l’employeur s’engage à revenir au paiement de la prime de fin d’année comme cela avait été convenu dans un accord précédent. Les salariés, refusant l’habillage « Covid » auquel l’employeur a voulu conditionner le versement de cette prime.
Ensuite sur la question de la mise en sécurité des salariés travaillant sur la piste de la station, la réponse est venue de madame Christine DUBARRY responsable commerciale du Groupe Rubis Antilles-Guyane.
L’engagement de la responsable de Rubis, se retrouve dans un courrier adressé à Alphonse DEGRAS, porte-parole des salariés. Dans cette lettre datée du 11 janvier 2021, madame DUBARRY s’engage à joindre toutes les parties prenantes au problème pour que soit étudié toutes les voies envisageables afin de résoudre le problème de l’insécurité.
Quant à la cellule psychologique demandée par les salariés, cette revendication a été actée également.
On peut donc dire que ce combat pour faire valoir le droit de retrait a été gagné par les salariés, parce bien servi par leur détermination.