Dans l’arrêt n° 20-11.046, la cour d’appel, ayant constaté que le salarié produisait des attestations de proches faisant état de crises d’angoisse régulières, de peur de se soumettre aux examens médicaux, d’insomnies et d’un état anxio-dépressif, a pu en déduire que l’existence d’un préjudice personnellement subi était avérée.
Nos droits: Un préjudice d’anxiété